J'inaugure une chronique "nos chers disparus" vous vous doutez, chers lecteurs perspicaces, qu'il s'agit de redécouvrir quelques écrivains injustement oubliés, à mon sens; je vous propose donc, soit par militantisme littéraire, soit par simple curiosité de relire quelques passages (souvent présents sur Gallica) de ces fantômes de l'écriture! Je voudrais rendre hommage à Eric Dussert qui m'a permis d'ouvrir les yeux sur ces auteurs de l'ombre grâce à son ouvrage "Une forêt cachée" Ed la table ronde. Aujourd'hui, comme je vis et travaille à Toulon, je vous propose de relire Louis Jourdan qui en est natif (1810-1881) presque tout le XIXème siècle...et comme de nombreux littérateurs de ce temps, il vivait du journalisme, de chroniques dont il a forgé quelques belles lettres. Plutôt que de ratiociner sur lui voici le lien pour lire sa prose dans son oeuvre de référence "les contes industriels":...
Qui c'est celui là? ok, soyons donc chronologique: ancien monteur de cinéma (intermittent du spectacle), puis fonctionnaire de la culture tout d'abord spécialiste de l'action culturelle, puis passé dans le secteur du livre (responsable de BDP), et enfin diplômé et responsable dans la médiation artistique...bon ça va ? vous en savez assez!