Sujet de nombreuses polémiques et débats, la loi de 2005, est au mieux contournée au pire jamais appliquée..
Les reproches souvent faits à cette loi, pleine de bonnes intentions, est de contraindre la majorité pour satisfaire la minorité. Ceux qui en admettent le bien fondé lui reprochent d'aller trop loin et de mettre en péril nombre de projets et de structures culturels.
Mais réfléchissons, bien sûr la réglementation importe, bien sûr tous les dispositifs nouveaux sont utiles...mais il y a quelque chose à entreprendre pour faciliter l'accès à tous les publics, que ce soit les handicapés, bien entendu, mais aussi toutes les personnes qui n'ont pas la capacité de recevoir l'objet culturel (spectacle, exposition, etc.) comme les autres pour des problèmes de handicap, de langage, de
codes culturels...bref des publics empêchés ou des non-publics. Réfléchir au programme artistique et l'adapter à la réception par tous moyens: scénographie, cartels, actions périphériques, médiation.
Par exemple dans le cas d'une exposition, une approche thématique sera préférable à une proposition monographique car cela permettra d'offrir plusieurs angles d'attaque pour expliquer les intentions des artistes. Aborder l'accoutumance au spectacle vivant par une véritable école du spectateur: partir de petites formes, des oeuvres avec une structure plus linéaire pour ensuite évoluer progressivement. C'est ce que j'appellerai agir sur le fond avant d'agir sur la forme!
Qui c'est celui là? ok, soyons donc chronologique: ancien monteur de cinéma (intermittent du spectacle), puis fonctionnaire de la culture tout d'abord spécialiste de l'action culturelle, puis passé dans le secteur du livre (responsable de BDP), et enfin diplômé et responsable dans la médiation artistique...bon ça va ? vous en savez assez!
samedi 21 décembre 2013
La prise en compte du handicap
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